Service enlèvement gratuit d’Emmaüs Brest Portail d’informations sociales départemental Finistère

Bonjour,je donne 3 chaises en bois,assise en paille,bon état. La Coulée Verte René-Dumont de Paris, autrefois appelée Promenade plantée, est une belle balade méconnue des parisiens qui nous emmène dans un parcours verdoyant allant de la Bastille jusqu’au bois de Vincennes tout en passant par dessus le Viaduc des Arts. On prend un peu de hauteur et on s’offre une belle découverte insolite et ombragée, à l’abri des voitures et du tumulte parisien. Le point de collecte, situé à la Porte de Montreuil, permettra de déposer vos objets, en bon état, sur un site dédié à cet usage.

• « Ce sont les nôtres qui crèvent la gueule ouverte dans la rue » chantait le groupe de Rock identitaire français In Memoriam, qui manifestement avait raison avant l’heure.
• Je créé un compte pour recevoir mes newsletters et gérer mes données personnelles.
• La Communauté d’Emmaüs de Peltre n’a pas échappé à l’impact de l’épidémie et de ces nombreux confinements.
• Le rapport que j’ai avec les associations se situe donc davantage sur le terrain de ce qu’elles peuvent apporter en terme d’appui à l’insertion.

Elle s’est agrandie depuis 1968 et aide de nouvelles structures à émerger. « L’une des responsables est allée renforcer cette communauté », indique Marie-Françoise Samson, l’une des deux coprésidentes. Son remplacement à Rédené est en cours pour épauler les deux coresponsables restants. Nous nous déplaçons gratuitement à votre domicile pour l’enlèvement de vos dons.

Quand on est loin de ses racines, loin de sa famille, quel endroit mieux qu’un café pour permettre de renouer des liens de convivialité. C’est pourquoi, l’association Emmaüs qui développe des actions de solidarité décide de créer un espace « Café » de 36 m2. Il sera l’espace convivial propre à susciter les échanges et sensibiliser les personnes sur les actions solidaires menées par Emmaüs. C’est un lieu, où l’on vient pour parler, échanger, se raconter, se faire aider, rencontrer.

Pour aider ces associations, SFR a mis en place l’Option Solidaire. En souscrivant cette option, vous donnez chaque mois 1€ à l’association de votre choix. La vie communautaire permet à chacun de se refaire une santé, de retrouver les repères d’une vie sociale organisée au travers d’une activité, de se sentir « utile » pour les autres. Au départ « demandeur d’aide et de soutien », le compagnon devient acteur de sa propre réinsertion par son activité et la vie partagée dans la communauté. Emmaüs, c’est un lieu de travail solidaire mais aussi et surtout un lieu de vie. »Le moment de midi fait partie des moments forts de la communauté puisqu’on mange tous ensemble et ça 365 jours par an »,confirme Jean-Pierre. Le magasin est fermé le matin mais l’activité bat son plein.

Chaque compagnon s’engage à respecter les règles de la communauté (non-violence, honnêteté, sobriété). Pour le public, c’est l’endroit où on dépose des dons et où on peut acheter un peu tout à des prix accessibles. La communauté, c’est retrouver sa dignité par le travail et redonner sa dignité au travail, en utilisant au mieux, et en valorisant les compétences de chacun.

Depuis quatre mois, au 25 avenue René Plaisant, un nouvel espace commercial est ouvert. Les compagnons d’Emmaüs redonnent, dans cet atelier magasin, une seconde vie aux objets et les proposent à la vente dans un esprit de solidarité. Rencontre avec Emmanuel Kamto, référent Emmaüs du Couserans.

Les dernières actualités

Pour recevoir votre »bon de retour », afin de faire parvenir ce carton à Emmaüs Solidarité. Enfin, n’oublions pas les clients qui viennent acheter en magasin et contribuent ainsi à la pérennité économique de notre action, de même que les entreprises qui passent commande auprès de nos ateliers de couture ou de menuiserie. Pour ce faire, le soutien et la fidélité de nos abonnés est essentiel.

Dans un café qui se voudrait confortable et accueillant. C’est pour cela qu’aujourd’hui l’association Emmaüs Besançon mobilise les Petites Pierres. Il manque euros pour la conception et la création des panneaux de bois du futur café. Vos dons à Emmaüs 44 permettent aux 35 compagnons accueillis sur la Communauté de vivre de leur travail. Ils permettent également de mener des actions de solidarité locale, nationale et internationale pour aider ceux qui sont dans le besoin (« pour servir en premier le plus souffrant » comme disait l’Abbé Pierre). Dans l’un des ateliers de la communauté Emmaüs à Vénissieux, au milieu de dizaines de peluches, puzzles, voitures, poupées, Yamina et Bruno s’attellent ce mardi, consciencieusement, à redonner une seconde vie aux jouets donnés à l’association.

Donner, c’est lutter contre le gaspillage et prôner la deuxième vie des dons. 4431places réparties en 70structures d’hébergement ou de logements adaptés. Chaque don fait partie intégrante de la chaîne de solidarité.

Des personnes à faible revenu aux collectionneurs, en passant par les bouquinistes et les antiquaires, les points de vente sont ouverts à tous. « Cela peut être parfois compliqué », concède Armand, arrivé de l’Oise il y a deux ans, travaillant au secteur vêtements après un passage au déchargement des camions. L’association propose des milliers de produits à des prix (très) bas. Ramassage des objets, tri, rangement, entretien, réparation, conseil aux clients., etc., les rôles sont variés. Emmaüs collecte et récupère meubles, linge, vaisselle, jouets, livres, électroménager, etc. Tout ce dont les donneurs ne veulent plus chez eux et les met en vente dans l’un de ses trois magasins de l’agglomération (Vénissieux, Lyon et Villeurbanne).

Toujours prêts à se mobiliser, communauté et compagnons participent aussi souvent que nécessaire à des actions pour les droits des citoyens. Une communauté est un lieu de vie pour certains, un lieu de passage pour d’autres. Enfin, nous aurons l’occasion de voir plus en détails dans les prochaines semaines sur comment bien chiner et faire de bonnes affaires en seconde main chez Emmaüs. Adresse fétiche des amateurs de bons plans, c’est le lieu où l’on peut trouver des choses chouettes pour quelques (dizaines d’) euros.

Fonctionnement

On favorise aussi l’achat seconde main et par-là un meilleur move pour la planète. Pour cet ancien éducateur, le manque d’éducation et l’individualisme constituent en grande partie les maux qui, aujourd’hui, éloignent et séparent les individus. « Nous sommes un peu le reflet de la société », souligne-t-il.

Nous avons créé à la communauté une recyclerie qui permet en partenariat avec les collectivités locales de traiter au mieux tous les produits reçus, y compris les déchets. Cet outil permet aussi au public d’apporter directement les objets pour lesquels nous ne pouvons pas nous déplacer ou qui ne sont pas recyclables. L’Abbé Pierre a accueilli le premier compagnon en 1949, celui-ci était désespéré. Dans cette première maison de Neuilly Plaisance, il a repris espoir et raison de vivre, tout comme les « compagnons d’Emmaüs » dans l’évangile de Luc. Accès à la santé, accès à l’eau, droit à l’éducation et à la culture, libre circulation des personnes, et les finances ethiques.

L’ARFIS est une école d’enseignement supérieur dédiée aux métiers du Cinéma et de l’Audiovisuel créée en 1989 par un collectif de techniciens et de passionnés du monde audiovisuel. Constatant la rareté de formation qualifiante sur la région, à l’époque, ils se sont donné pour objectif de former les futurs professionnels du métier grâce à un programme pédagogique solide et professionnalisant. Venez donner en boutique une/des valise ou un/des sac pour l’association Emmaüs et bénéficiez de -15% sur l’achat d’un nouveau produit Samsonite hors accessoires. Faites comme Mamady et Rasmus, donnez vos anciens vêtements et chaussures de sport (en bon état) pour soutenir Emmaüs. Grande collecte le mardi 15 mars dès 18h, devant le Stadium, au niveau du rond-point devant le terrain annexe Brice Taton.

3Quelles sont les modalités de « prise en charge » des personnes sans domicile aujourd’hui ? Qui sont les professionnels qui assurent leur accompagnement ? C’est à ces questions que nous avons souhaité répondre en allant enquêter dans cette association et en observant les interactions entre les intervenants sociaux et les personnes privées de logement et/ou à la rue. Entre octobre 2009 et mars 2010, nous avons donc réalisé une enquête ethnographique au sein de l’Association Emmaüs, avec les équipes de la Maraude Paris-Nord et de l’accueil de jour l’Agora situé dans le premier arrondissement de Paris (voir encadré 1). Ce n’est pas la première fois que l’association Emmaüs se lance dans la vente de seconde main en ligne.

Mais elle pose également la question du statut des salariés et de leur professionnalisation. Chaque utilisateur peut créer une annonce sur Trëmma comme il l’aurait fait sur une plateforme de seconde main classique. Celle-ci est ensuite reprise par un modérateur, salarié en insertion, qui la complète, la met en vente sur label-emmaus.co et si elle trouve preneur, le produit de la vente est reversé au projet de solidarité que le donateur a choisi. L’ergonomie de Trëmma est inspirée des plateformes les plus connues de vente entre particuliers. L’objectif étant de faciliter la mise en ligne des annonces pour les particuliers afin que l’aspect technique ne constitue pas un frein.

En effet, le besoin est réel dans la mesure où Emmaüs s’autofinance par le don (monétaire comme matériel) avec les bénéfices de la revente des meubles, objets ou bien sûr vêtements comme source majeure. Il faut avoir l’œil pour faire le tri et faire vite « sinon, on se retrouve vite bloqués »,explique Jean-Pierre Polidori, directeur d’Emmaüs Grenoble et responsable du site de Sassenage. « 100 à 200 personnes par jour viennent nous voir pour déposer des objets », ajoute-t-il. Dans ce contexte de changement, responsables et président de l’association veillent à entretenir le vivre-ensemble.

Alors qu’elles étaient avant cette date le plus souvent perçues comme inaptes, marginales et dangereuses, et à ce titre réprimées, les personnes sans domicile sont devenues des cibles caractéristiques voire paroxystiques de ces politiques d’intervention . Même si les formes de répression ou d’hostilité n’ont pas disparu (Loison-Leruste, 2014), les « SDF » ne sont plus considérés comme des criminels mais comme des individus dotés de droits économiques et sociaux à qui il convient de porter assistance. De nombreux dispositifs ont ainsi été créés pour leur venir en aide, mobilisant de nombreux acteurs institutionnels et associatifs (Hély & Loison-Leruste, 2012). Vous pouvez soutenir Emmaüs en mettant en vente en ligne les affaires dont vous souhaitez vous séparer sur Trëmma.

Dans les deux services étudiés, la souffrance qu’ils expriment témoigne de leurs difficultés, lesquelles ne sont pas uniquement liées aux personnes qu’ils accueillent mais à la nature de leur travail d’accompagnement et aux conditions concrètes de son exercice . 40Les intervenants disent manquer de références explicites, de repères reconnus et partagés, de moyens de valorisation et de reconnaissance de leur travail. La connaissance des dispositifs et des acteurs de la prise en charge des personnes en situation d’exclusion se limite par exemple à celle qui est proposée dans le service. Lorsqu’ils débutent, les intervenants qui n’ont pas reçu de formation n’ont a priori pas de vision globale du champ dans lequel ils travaillent. Le seul outil à la disposition des intervenants est le petit Guide solidarité, édité et diffusé tous les ans par la municipalité de Paris et qui fournit ce type de renseignement sans toutefois être exhaustif.

Ces sacs et valises seront distribués par Emmaüs pour leur donner une seconde vie auprès de personnes dans le besoin. Seules structures où les Français et Européens sont majoritaires (59 %), les logements accompagnés qui permettent, dans le cadre de la construction de parcours résidentiels personnalisés, d’offrir un accompagnement en phase avec les besoins des publics accueillis. Figure de front de la lutte contre l’exclusion et la précarité depuis sa création en 1977, Emmaüs Toulouse continue aujourd’hui à se battre pour faire entendre la voix des sans voix, dont les droits et la dignité sont sans cesse remis en cause.

À qui donner cette possibilité parmi les centaines de personnes fréquentant l’ESI ? Telle est la question à laquelle les intervenants doivent répondre. La distribution a déjà occasionné des bagarres et suscité des sentiments d’injustice chez les usagers.